Bien que les statistiques relatives à Douala ne soient pas disponibles, les spécialistes sont unanimes pour dire que le logement y demeure relativement cher. Il faut se référer aux évaluations répercutées par des opérateurs privés comme Codecis qui indiquent qu’au total, Douala partage avec Yaoundé un déficit d’un million de logements. La demande est donc forte, même si Martin Kemajou le délégué régional du ministère en charge du logement estime que « certains sont sur-logés », ce qui traduit un fossé parfois abyssal entre des ménages qui disposent de larges espaces et des taudis surpeuplés. Il s’agit d’une réalité forte contrastée où les loyers mensuels varient de 10.000 F au centuple. Des chambres des quartiers populaires comme Village, le vieux New Bell ou de Bépanda aux luxueux appartements de Bonapriso ou de Bonamoussadi. En moyenne cependant, il faut disposer de 50.000 F chaque mois pour espérer accéder à un studio décent dans un quarti...
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